On en parle

 

 

Les lecteurs en parlent  

 

 

"Je l'aime aussi cette économie connectée, ancrée dans nos territoires. Cette économie ouverte à tous dont les acteurs engagés agissent pour le bien être de tous avec humilité." 

 

Nicolas Prost, Responsable de la salle des marchés, Crédit Coopératif

 

"Outre cet enthousiasme pragmatique pour un autre monde possible créatif et coopératif, j'ai apprécié la mise en forme qui facilite la lecture rapide - les titres en couleur et les passages en gras". 

 

Jean-Frédéric Vergnies, Rédacteur en chef de Formation Emploi : revue française de sciences sociales

 

"L'Economie qu'on aime est un livre très inspirant car partant de la réalité, du terrain, et donc formidablement concret. C'est le genre d'ouvrage utile à "la cause" que nous défendons tous, elle la rend palpable, réelle et surtout possible !" 

 

Jacques Dasnoy, Délégué général du Mouvement des Entrepreneurs Sociaux

 

"Un grand bravo pour ces belles tribunes qui distillent de l'optimisme dans les colonnes et sur les ondes ! Longue vie à cette superbe aventure !"

 

Anne-Laure Robine, Fondation Alpha Oméga

 

"J'ai lu votre livre : concret, pragmatique, clair, votre livre démontre qu'il est possible de sortir de la pensée unique qui prédomine depuis plus d'un siècle". 

 

Marc Poupinel, MG Conseil

 

"Ce livre inspirateur avec des exemples concrets montre que les entreprises et les autres parties prenants peuvent travailler ensemble pour créer de la valeur partagée et promouvoir le développement territorial. Vraiment Bravo !"

 

Carolina Herrera Rojas, Experte en intrapreneuriat sociale, Vinci

 

"Votre bouquin est un booster de moral ! Et puis j'y retrouve des références : Viveret, Morin et bien d'autres !"

 

Stéphanie Fries, Responsable pédagogique, Institut de l'Innovation et de l'Entrepreneuriat Social, ESSEC

 

"Merci pour ce petit livre aussi bien accessible à tous que percutant ! Pédagogique, synthétique et thématique, il est aussi bien visionnaire que pragmatique. La force de l'exemple convainc et éloigne le mauvais spectre de doux rêveur dont sont souvent taxés ceux qui souhaitent penser autrement et faire différement". 

 

Pauline Henri, étudiante à l'ESSEC

 

"J'ai lu avec beaucoup de plaisir et parfois d'enthousiasme l'économie qu'on aime ! Je vous félicite pour cet ouvrage et je vous en remercie de me l'avoir fait découvrir. Les expériences qui y sont décrites montrent que le territoire est un actif clé pour le développement de l'entreprise. C'est un actif matériel mais également immatériel grâce aux relations sociales dont il est le porteur et aux pratiques culturelles que l'histoire lui a transmises. Vous regardez bien le territoire comme un creuser de compétences et de ressources et non comme un simple écrin où se pose une activité économie et cela est réjouissant ! (...) Tout l'art de l'entrepreneur de territoire est de repérer les ressources, de les transformer en actifs grâce ces coopérations et d'utiliser le bon réseau social pour les faire réussir." 

 

Nicolas Millet, Directeur du Développement Economique, CCI Rhône Alpes

 

"J'ai lu votre livre avec plaisir. Votre pensée économique a été pour moi la démonstration que l'on peut réconcilier économie et éthique, ce qui est majeur. En effet, si l'on s'en tient au simple constat de l'échec des systèmes collectivistes et capitalistes en l'attribuant à la noirceur humaine, on peut sombrer dans un pessimisme total. Avec cet éclairage, on pourrait considérer que quelque soit la manière envisagée par les hommes pour organiser leur vivre ensemble (c'est bien ce qu'on appelle économie ?), leur tendance au profit les mènes irrémédiablement dans le mur ! Or votre approche, en démontrant que cette recherche du profit comme seul but finit par nuire à tous et qu'il y a une autre manière de réussir est une lueur de pensée positive dans la morosité ambiante. Bravo donc, surtout que vous étayer votre théorie d'exemples bien réels qui montrent que c'est possible. Puissent de nombreux entrepreneurs, syndicalistes, s'en inspirer et les politiques insuffler à leurs concitoyens cette envie de bâtir le bien "commun". Il faudra encore du temps sans doute mais ..."

 

François Leray, Guide de Haute Montagne, Annecy